J’aime bien soigner un lendemain de cuite en allant vagabonder dans un musée, c’est paisible, le rythme est lent, tout y est voué à la contemplation. C’est un peu mon confessionnal sans paroles. Là je ne déblatérerais pas sur l’exposition / œuvre ouverte / environnement participatif de Thomas Hirschorn au Palais de Tokyo (que je …
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