Jeune plasticienne parisienne, c’est à la pointe de sa mine graphique qu’Ingrid Maillard redessine notre compréhension du corps humain. S’attachant à repousser les beautés émergeant de l’interaction physique, l’artiste traque et dissèque les tensions résultant de l’attachement des chairs entre elles, de la poésie violente qui s’articule au confins des muscles qui se tendent et se contractent […]
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